Ulule : Memoria Bluff

Ulule : Memoria Bluff

Memoria bluff est un jeu de Benjamin Lavie (Singin in the Game), il est illustré par Noémie Le Corre et Cédric Gaillard. C’est un jeu édité par Fée Mumuz’.

Il est prévu pour 2 à 8 personnes pour des parties de 10 à 40 minutes.

Le test a été réalisé à partir du prototype fourni par l’éditeur. Le jeu est en financement participatif sur la plateforme Ulule du 16 septembre au 09 octobre 2022.

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Le matériel

Je ne parlerai pas du matériel en détail, il n’y a que des cartes et c’est un prototype, donc non représentatif du produit final.

Mais les cartes sont de bonne qualité pour un proto et il n’y a rien de plus à ajouter je pense.

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Avis narré

Bienvenue à Memoria, territoire mythique où les bribes de souvenirs vous reviennent dès que vous y pénétrez.

Ces souvenirs sont fugaces, mais surtout, ils sont très sélectifs et taquins !

Une seule personne ressortira d’ici avec les bribes et souvenirs complets peut-être qu’elle aura trouvé, les autres seront condamnées à tout oublier !

Le meilleur moyen de conserver ces souvenirs ?

Faire croire à vos compagnons qu’ils sont vrais, même s’ils sont totalement inventés, où au contraire, faire croire qu’ils sont faux, alors qu’ils sont 100% authentiques !

Votre voyage se fera sous deux étapes : lors de la première, tentez de capter le plus de bribes de souvenirs possibles et de les combiner pour qu’ils ne forment qu’un seul souvenir, puis racontez-le à vos compagnons d’aventure !

Mais attention !

Si le moindre détail de l’histoire n’est pas 100% authentique, alors il faudra considérer que votre souvenir dans son intégralité est faux !

Puis vos auditeurs devront se prononcer sur la validité de votre souvenir, ou s’ils pensent que c’est un boniment !

Vous vous attirerez la faveur des souvenirs pour chaque compagnon qui se sera trompé et vos compagnons auront la faveur des souvenirs s’ils ont vu juste dans votre jeu d’acteur ou votre sincérité !

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La seconde partie du voyage sera plus courte, mais plus intense !

Un souvenir ou un boniment sera racontable à partir d’une seule bribe de souvenir.

Mais, de fait, les souvenirs vous récompenseront et vous donneront leur faveur de manière plus intense, car il est plus compliqué d’être précis ou vague à partir d’un seul élément !

Une fois votre périple terminé, vous saurez qui a réussi à séduire les bribes et souvenirs et qui repartira la tête pleine de beaux souvenirs ou de beaux bobards et les autres devront tout oublier jusqu’à leur prochain voyage en ces terres bien étranges…

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Conclusion

Quand on m’a parlé d’avoir accès à ce proto, pour moi qui aime raconter des histoires, qui aime tenter des coups de bluff et qui aime parler (trop même !), j’ai sauté sur l’occasion !

Certes ce n’est pas spécialement mon style de jeu de prédilection, on est sur un jeu d’ambiance fait pour rire, quand je suis plus attiré naturellement par les jeux experts pleins de réflexion.

Mais l’invitation au voyage, à la pêche aux souvenirs et à la connaissance plus approfondie des autres m’a séduit !

Donc le jeu nous a plu !

Il a moyennement plu à ma moitié car elle n’est pas fan des jeux où l’imagination est trop présente, donc sachez-le, si vous manquez cruellement d’imagination, vous aurez peut-être du mal, même si vous pouvez toujours choisir l’option de ne dire que la vérité, toute la vérité et rien que la vérité (Non ne levez pas la main droite, on est pas dans un tribunal !).

Mais sinon, c’est du plaisir, devoir bluffer, savoir quand raconter la vérité, mais glisser un élément faux dedans pour induire les autres en erreur apporte un plaisir et une tension de se faire démasquer qui sont vraiment très agréables et on rigole beaucoup à l’évocation de souvenirs totalement inventés et à d’autres trop gros pour être vrais et qui le sont pourtant !

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La variété des cartes et le nombre disponible permet une rejouabilité et des inventions ou des vrais souvenirs en pagaille !

J’ai beaucoup apprécié aussi la sobriété des graphismes et leur esthétique, c’est assez épuré et en même temps ça rappelle beaucoup un songe un peu nébuleux, assez thématique par rapport à l’histoire qu’on nous raconte et celles que l’on doit raconter !

Quelques variantes sont possibles pour changer la manière de jouer, mais le plaisir reste intact !

Bref, je n’ai pas beaucoup de coups de cœur généralement, je déteste même l’expression tellement elle a été galvaudée, mais je dois dire que, si j’employais cette expression, elle collerait parfaitement à ce jeu !

Alors je ne le dirai pas, mais je dirai que c’est un direct dans mon cœur de ludiste !

Test : Ramba Zamba

Test : Ramba Zamba

Ramba Zamba est un jeu de Johannes Schmidauer-König, il a été illustré par Michael Menzel. Il est édité par Game Factory et localisé par Offline Edition.

C’est un jeu pour 2 à 5 personnes à partir de 8 ans pour des parties d’environ 20 minutes.

L’article est écrit depuis une boite fournie par Offline Edition.

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Le matériel

Des cartes et… c’est tout, Ramba Zamba est un jeu de cartes et c’est tout !

La qualité des cartes est standard pour un jeu de ce type et de ce format.

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Du rififi dans la basse-cour !

Ramba Zamba, mais quelle phrase magnifique… Ah non, je me trompe, ce n’est pas du même type d’animaux dont il est question ici.

Welcome to the jungle the farm!

Votre mission, si vous l’acceptez, sera de collectionner 5 représentants d’une famille d’animaux.

Votre choix est libre, vers de terre, poules, renards ou chiens, mais sachez que chaque animal posé pourra chasser les autres !

Les poules se nourrissent de vers, les renards traquent les poules et quel meilleur prédateur que le chien pour houspiller le renard loin de votre poulailler ?

Bien entendu, Dédé le fermier veille et pourra remettre de l’ordre pour chasser les chiens si l’envie lui en prend !

Mais méfiez-vous !

Vos adversaires vont peut-être vous envoyer des animaux pour chasser vos familles en cours de complétion !

Utilisez des bottes de foin pour cacher vos animaux, mais gare aux voisins mal intentionnés qui n’hésiterons pas à déblayer le tout à coups de fourche !

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Ramba Zamba, sous ses airs enfantins par le design, cache un vrai jeu de chacals (pour rester dans la thématique animaux).

Ce que nous avons beaucoup aimé, c’est la possibilité de contrer ses adversaires et de les polluer, de retirer des bonus qui protégeaient leurs familles et la tentative de toujours avoir un coup d’avance pour éviter de perdre des cartes déjà placées.

Ce que j’ai moins aimé par contre, c’est que, finalement, on ne s’attaque pas aussi souvent que je l’aurais souhaité, pourtant on pose souvent des cartes chez les autres pour faire disparaitre des cartes, retirer des protections, etc…

C’est bien pensé, mais j’ai la sensation qu’il me manque quelques cartes d’attaque plus générale, parce qu’il n’y a que le fermier qui chasse les chiens chez tout le monde (personne qui pose la carte y compris), mais le reste est vraiment ciblé pour une seule personne.

J’aurais aimé plus de capacités qui affectent tout le monde (sauf la personne qui pose la carte, puisque le fermier est déjà là pour ça).

Mais ça reste un peu de chipotage puisque, c’est vrai, Ramba Zamba n’est pas mon style de jeu de prédilection.

On est sur un vrai jeu d’ambiance, qui se jouera facilement avec les plus jeunes, les novices ou les personnes qui n’aiment pas se prendre la tête et rire un bon coup !

Car oui, le jeu est simple à expliquer, rapide à jouer et on rigole beaucoup.

Une fois de plus, comme pour Barrakuda, il ne faudra pas être allergique à la pioche et aux vacheries si tout le monde décide de s’acharner sur une seule personne.

Sans ça, on est sur un jeu d’ambiance agréable, rigolo et qui permet de se chicaner un peu quand-même, donc je pense que l’objectif est atteint !

Test : Complices

Test : Complices

L’avis de Romain B. :

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Un jeu d’ambiance pour 2, ça n’existe pas. Alors, chez Old Chap Games, ils ont travaillé le sujet et ils nous proposent Complices ! 

Le jeu d’Antonin Boccara (Par Odin, Fiesta de Los Muertos …), Jules Messaud (Akropolis) et Arthur Anguilla est donc un jeu pour 2 joueurs où il va y avoir de la rigolade, des engueulades et pas mal d’incompréhensions mais le tout dans la bonne humeur ! 

Le principe de complices est simple : vous êtes une équipe de voleurs et allez enchainer les casses pour accumuler des richesses dans le but d’atteindre la gloire ! 

Pour cela, chaque joueur dispose de super lunettes lui permettant de voir 50% des lasers du lieu. Un joueur voit les bleus, l’autre les rouges. 

A vous de vous entendre pour réussir ! Un joueur trace le parcours de la fine équipe sur le plateau à l’aide d’un crayon effaçable et bien entendu le tout en temps réel avec le stress du sablier (ou de la musique d’ambiance).  

Complices est un vrai jeu d’ambiance à deux. C’est assez dingue mais n’avoir que 50% des infos et devoir communiquer en permanence rend le jeu vivant et on s’y croit !  

Mention spéciale pour les joueurs alpha : ces gros relous qui veulent tout maîtriser dans les jeux coopératifs, tout diriger, être le leader quoi. Avec Complices, pas d’alpha ! On ne peut pas tout diriger sans connaître toutes les infos.  

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Si vous êtes plus de deux, si votre famille ou des amis ne sont pas très jeux, je vous conseille de jouer une manche en les laissant regarder. Effet « Hey je veux essayer ! » garanti ! Complices est aussi marrant pour les joueurs que pour ceux qui regardent autour. 

Bien évidemment, il est accessible par les plus jeunes ! Une fois droite et gauche connues, c’est parti. Si jamais vous jouez avec des enfants, vous pouvez mettre le sablier de côté pour les premières parties, le temps qu’ils comprennent bien les principes et le gameplay. 

Pour les joueurs plus aguerris, les anciens du gaz, pas de souci non plus puisque les premiers niveaux sont accessibles, mais ensuite l’affaire se corse, et si vous recherchez du défi, vous allez en trouver ! 

La rejouabilité est aussi au rendez-vous. Retenir l’emplacement de chaque laser est déjà bien compliqué, mais quand ces derniers sont courbés, vous pouvez abandonner l’idée de vous rappeler de tout. 

Complices c’est un super jeu. De ces jeux innovants, que l’on peut jouer avec n’importe qui quel que soit l’âge ou le niveau. Le genre de jeu qui reste dans une ludothèque. 

Alors, à vous les missions impossibles, les casses à la Hudson Hawk (Il est pas tout jeune celui-là.), ou de Haute Voltige ! Avec Complices, communiquez, engueulez-vous et surtout n’oubliez pas de rigoler. 

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L’avis de Dirgaw :

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Vous avez toujours rêvé de virevolter pour esquiver les lasers tel Francois Toulour/Vincent Cassel dans Ocean’s 12 ? Malheureusement, vos lombaires vous font souffrir le martyr dès que vous portez un peu trop lourd ! Rangez votre Voltarène, armez- vous simplement d’un complice, le jeu éponyme est un jeu pour vous !


Ce jeu familial est très divertissant. Basé sur un concept fort, avec une bonne rejouabilité, il saura régaler les amateurs de larcins en duo organisé. La difficulté des missions est très largement crescendo, voire très compliquée à optimiser (au point de presque de parfois décourager les moins acharnés d’entre nous). Si les missions du manoir sembleront accessibles – quoique parfois périlleuses lorsqu’on est sous le joug d’une carte police -, celles du casino, du musée, ou de la station lunaire seront… Beaucoup plus ardues !


Si les illustrations sont d’excellente facture, on déplore cependant la finesse de certains traits qui, une fois les lunettes bleues revêtues, deviennent illisibles (pas pratique pour donner des indications au joueur qui porte les lunettes à filtre rouge). Puisque montrer la direction où aller est interdite, peut-être aurait-il été intéressant d’y ajouter des mentions des points cardinaux ? On peine d’ailleurs aussi à voir précisément l’état du sablier avec ces lunettes bleues. De manière générale, le contraste  des lignes bleues ou rouges aurait pu être un poil plus poussé.


Côté atout, une bande-son a été créée pour davantage d’immersion. Du reste efficace, on aurait apprécié une notification qui indique qu’il nous reste peu de temps (par une accélération du rythme, un son spécifique, par exemple…)
Quoi qu’il en soit, ce jeu reste tout de même surprenant et vaut clairement le détour. Trouvez-vous vite un complice du vice, et à vous les pièces de monnaie ! Gare aux lasers !

La bande son pour s’immerger un peu plus dans le jeu est disponible sur le site de l’éditeur

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Disponible ici :

Prix constaté : 26,90 €

Test : P comme Pizza

Test : P comme Pizza

Je ne sais pas vous mais moi, quand on me parle de jeu d’ambiance, j’espère des parties courtes, du rythme et ne pas avoir besoin de me replonger dans les règles quand je veux le ressortir après une longue période d’abstinence. Heureusement, P comme Pizza répond à ces trois attentes.

P comme Pizza est un jeu préparé par le pizzaiolo Doruk Kicikoglu (je n’invente rien), le propriétaire de la pizzeria se nomme Big Potatoe Game et le groupe de livreurs est dirigé par Blackrock Games.

C’est un jeu pour 2 à 4 amateurs de gastronomie italienne, à partir de 8 ans. Durée estimée de la dégustation : 20 minutes.

Le principe de P comme Pizza est tout bête. Il va falloir trouver plus rapidement que nos adversaires des mots faisant référence à un thème et commençant par la lettre indiquée. Il y a toujours trois thèmes proposés, un facile, un moyen et un difficile. Le problème, c’est que plus on trouve de mots, plus notre choix de thème se réduit. Après cinq mots, le thème facile nous est interdit et pour le dernier mot à trouver, il ne nous reste plus que le thème difficile.

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P comme Pas mal du tout

Cette petite règle qui augmente la difficulté au fur et à mesure de notre montée dans le score, c’est l’huile pimentée qui vient relever le goût de la pizza. Grâce à elle, les retardataires auront toujours la possibilité de revenir dans la partie et les premiers de cordée auront toujours la pression.

En plus, elle est plutôt bien mise en scène par le matériel. L’idée des cartes en forme de part de pizza que l’on pose devant nous pour former un triangle rend la progression très visuelle ce qui permet, d’un simple coup d’œil, de savoir où on en est (et où en sont les autres).

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P comme Petits soucis

P comme Pizza reste un jeu de vocabulaire, avec tous les problèmes que cela pose. Je ne le proposerais pas à mon cousin dyslexique ou à mon amie espagnole. Pas non plus aux copains qui ont un penchant pour la triche. Comme on donne nos réponses simultanément et qu’on ne va pas interrompre la partie sans arrêt, le jeu peut vite se transformer en paradis de la mauvaise foi. “Bien sûr qu’une casserole c’est un instrument de musique !”.

Dernier regret, le nombre réduit de participants. La boite indique 2 à 4 joueurs. Si c’est évidemment à 4 que le jeu prend tout son intérêt, cela fait peu pour un jeu d’ambiance. Rien n’empêche d’y jouer à plus mais, sans l’avoir essayé, je pense qu’à partir de 5 on risque de se marcher dessus.

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Vous en reprendrez bien une part ?

P comme Pizza est un petit jeu très plaisant dont le twist, plutôt malin, maintiendra la tension pendant toute la partie. S’il ne révolutionne pas le genre, il remplit plus qu’honorablement son rôle d’apéritif dont on va venir picorer les parties quand on manque de temps ou avant un jeu à la durée plus conséquente.

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Nous faisons partie du programme d’affiliation mis en place par Philibert sur leur site. Cela signifie que si un jeu que nous avons chroniqué vous plaît, et que vous l’achetez en cliquant sur le lien Philibert que nous proposons en bas de chaque article, nous percevrons une modeste contribution nous permettant de nous acheter d’autres jeux, pour pouvoir les chroniquer et vous donner notre avis. C’est une forme de soutien, et nous vous en remercions par avance! C’est grâce à vous que nous pouvons continuer à abreuver ce modeste blog avec toujours + de contenu.

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Disponible ici :

Prix constaté : 15€

Test : Qu’est-ce tu veux qu’j’te dise ?

Test : Qu’est-ce tu veux qu’j’te dise ?

Qu’est-ce tu veux qu’j’te dise ? est illustré par Vincent Burger, édité (et conçu ?) par Bières et Cookies à 10h21, et distribué en France par Pixie Games.

Prévu pour 2 à 12 joueurs, à partir de 14 ans 3/4 et pour une durée annoncée de « 28 bonnes minutes ».

On sourit déjà en lisant ce qui est inscrit sur la boite, et c’est plutôt bon signe ! On vous annonce 34.38% d’absurde, 34.12% d’insolite, 31.24% de culture et 0.26% de fromage berbère, les pourcentages n’étant pas contractuels. Le ton est donné et ceux que cela agace déjà peuvent s’accrocher un peu car il s’agit tout de même de vraies questions !

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Le matériel

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1 dé, 315 cartes comportant 1000 questions et 2 pions en plastique qui ne servent à rien (Il fallait oser !). Voilà le contenu de la boite.

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Comment on joue ? ou Quand la culture rencontre l’absurde !

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Les joueurs constituent 2 à 4 équipes et commencent à jouer. Je vous laisse la surprise du moyen plus qu’original pour désigner l’équipe qui commence ! 😉 J’ai essayé, cela fonctionne !

Le joueur de l’équipe active lance le dé et répond à une question parmi 5 thèmes :

  • « Tu penses qu’il y a plus de ? »
  • « C’est quoi ça ? »
  • « Qui a été prem’s ? »
  • « C’est fou non ? »
  • « C’est qui/quoi déjà ? »

En cas de bonne réponse, l’équipe remporte la carte (= 1 point), sinon elle est défaussée.

L’équipe gagnante est la première à avoir obtenu un certain nombre de points en fonction du nombre d’équipes participantes.

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VERDICT

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Je ne suis pas folle amoureuse des « jeux d’apéro » mais j’ai eu l’occasion de jouer à Qu’est-ce tu veux qu’j’te dise ? et j’ai passé un bon moment.

Ce petit jeu de questions plus capillotractées les unes que les autres ne se prend pas au sérieux et fait mouche : on pense que ça sera facile puisqu’on est là pour s’amuser, rire et se détendre… Mais l’on finit par réfléchir un peu à la question posée, et les rires n’en sont que plus forts lorsqu’on découvre la réponse, qu’elle soit correcte ou erronée.

Je n’ai pu y jouer qu’à 4 joueurs mais ce doit être encore bien plus drôle avec davantage de protagonistes autour de la table !

Côté rejouabilité, la boite contient mille questions, de quoi occuper quelques soirées !

Le seul reproche que je ferai à Qu’est-ce tu veux qu’j’te dise ?, c’est la présence des pions en plastique dans la boite : ils ne servent pas, l’utilisation du plastique aurait donc pu être évitée.

En tout cas, merci David de m’avoir poussée à essayer le jeu ! 😊

Conclusion

Un party-game à mettre entre toutes les mains des amateurs de culture générale et de situations loufoques.

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Disponible ici :

Prix constaté : 20€